jeudi, août 18, 2005

Sécheresse, coupures d' eau et Politique Agricole Commune

Restrictions d' eau, sécheresse, cet été – comme bien d' autres – aura pointé les faiblesses françaises – lourdes de conséquences – dans la gestion publique de l' eau. Derrière ce qui est trop souvent présenté par les « responsables » politiques comme une fatalité, n' y a-t-il pas en vérité de graves incohérences et de lourds archaïsmes dans notre gestion publique de l' eau ?
Les hommes de l' Etat sont prompts à nous expliquer béatement que, fautes de précipitations suffisantes, et suite à une consommation qui rechigne à décroitre, des restrictions d' eau s' imposent. Des mesures de ce type auront été cette années adoptées dans environ 65% des départements français, avec néanmoins une ampleur variable.
Alors que ni la densité démographique, ni la situation géographique de la France ne permettent d' expliquer à priori de telles pénuries d' eau – devenues chroniques depuis quelques années – nous voici revivre une situation bien connue en France par le passé, le contrôle des prix, la mise en place de grands plans, et, in fine, le rationnement. Car l' autre nom de la restriction n' est-il point le rationnement ? Il fut jadis relatif à la nourriture, il l' est aujourd' hui pour l' eau.
Derrière ce qui nous est allégrement présenté comme inéluctable, on doit cependant y voir l' empreinte étatique, et plus précisément celle de la Politique Agricole Commune (PAC). Sous de fallacieux prétextes de défense de l' agriculture européenne et d' indépendance alimentaire, l' Europe use, par l' entremise de la PAC, des leviers économiques les plus dirigistes de contrôle des prix, de subvention et de planification. L' URSS avait, en son temps, asséché la mer d' Aral en plantant, dans les zones désertiques environnantes, du coton, extrêmement consommateur d' eau.C' est aujourd' hui ce qui se produit en France, dans de moindres proportions certes : la substitution de maïs, grand consommateur d' eau, à d' autres cultures moins demandeuses est en train d' assécher nappes phréatiques et réserves de tout type.
Majoritairement cantonnés à la Dordogne il y a encore quelques décennies, les champs de maïs s' étendent aujourd' hui sur l' ensemble du territoire, faisant exploser la demande d' eau à tel point que 68% de la consommation nationale est désormais dévolue à l' agriculture. La PAC se rend donc coupable – par le truchement d' absurdes directives protectionnistes et dirigistes – des pénuries d' eau touchant aujourd' hui le pays. Quand on sait que la production d' un kilogramme de grains de maïs nécessite 454 litres d' eau en moyenne (source : CNRS) et que cette seule céréale absorbe aujourd' hui 50% de la consommation agricole en eau (contre 6% pour toutes les autres céréales ou 8% pour l' ensemble des légumes frais. Source : SCEES – Ministère de l' Agriculture), on mesure la dangerosité de certains textes européens.
Mais il est également un second volet de la PAC, peut-être moins visible mais tout aussi pernicieux : le contrôle des prix par la substitution de prix politiques aux prix économiques. Un prix (sous-entendu économique) est l' indicateur de la rareté d' un bien ou d' un service, issu de la confrontation entre offre et demande. Toute augmentation de la rareté se traduit donc in fine par une hausse des prix, et inversement.Un prix politique est fixé par l' Etat sans prise en compte véritable de l' offre, de la demande et des variations de ces deux dernières. Il est donc supérieur ou inférieur au prix de marché. Dans le premier cas, il grève le budget des ménages et diminue leur pouvoir d' achat. Dans le second, il pousse au gaspillage. La politique agricole commune frappe un grand coup en combinant les deux cas. Les dégats eux ne se combinent pas, ils s' ajoutent, voire se multiplient.
Ce sont en effet à des prix trop élevés que les européens payent leurs produits agricoles (les ménages les plus pauvres, dont une large partie du budget est consacré à l' alimentation, sont les premiers à en pâtir). Le FEOGA (Fonds Européen d' Orientation et de Garantie Agricole) assure en effet aux agriculteurs des prix stables, supérieurs à ceux qui auraient émergé d' une libre confrontation de l' offre et de la demande. On gaspille donc pour faire survivre, grâce à un dispositif de respiration artificielle, des exploitations qui engloutissent de l' argent bien plus qu' elles n' en rapportent. Ce sont par ailleurs des prix trop faibles qui sont payés par les exploitants agricoles pour l' eau. Pas étonnant dès lors que la consommation soit très importante. Toute augmentation de la rareté n' est pas répercutée sur le prix de vente. Un prix politique – qui n' est bien souvent que le reflet d' une volonté politique, attisée par la démagogie – ne peut conduire pour l' eau qu' à l' asséchement progressif des nappes phréatiques.
Plus que la faiblesse des précipitations, ce sont bien la « prime au maïs », le maintien d' exploitations destructrices de richesses et des prix trop faibles pour l' eau qui sont les causes véritables de la sécheresse et des coupures d' eau. Au vu de ces faits, la fatalité s' estompe pour laisser transparaître une bien sinistre réalité, mise en oeuvre par l' Europe, cautionnée par la France.

25 commentaires:

Anonyme a dit…

J'ai lu une bonne partie de votre blog et je n'ai pas grand chose à dire sauf ceci :

Un écolo, qu'il soit libéral, communiste, socialiste, musulman ou bouddhiste, ça reste un écolo.

Les solutions que vous proposez ne se basent ni sur la réalité, ni sur la science de la biologie et la compréhension du fonctionnement des écosystèmes et de l'interaction entre le système économique mondial (les humains) et le système écologique mondial (les animaux, les plantes et l'environnement physique).

Les deux systèmes sont liés car l'homme est une espèce vivante, un animal. Le système économique de l'humain est dépendant du système écologique car l'humain est un animal qui doit produire sa nourriture. Comme il n'est pas aussi efficace énergétiquement qu'une plante, il doit se nourrir d'autres être vivants. Sa polyvalence en ce sens (omnivore) lui a donné un avantage sur les autres espèces humaine. Par contre, la nécessité de produire de la nourriture en grande quantité et surtout, de manière constante en constituant des réserves l'oblige à se concentrer dans des établissments permanents. Il est aussi dépendant des SORTES de plantes et des animaux qui sont domesticables et comestibles.

L'étalement urbain (propriété privée à grande superficie) et l'utilisation du pétrole pour faire avancer des voitures privées sont deux principales forces interdépendantes qui entraînent actuellement la destruction d'une partie du système écologique.

Les idées "libérales" ne changeront rien au fait que le pétrole sera bientôt épuisé. Au contraire, elles accélèrent et précipitent la fin de l'ère du pétrole...

Anonyme a dit…

Ton blog est vraiment excellent. Tu sembles non seulement bien comprendre les principes de base d'une économie de marché mais tu les appliques de belle façon aux problèmes environnementaux. De voir un jeune citer les ouvrages de Bastiat et Salin, entre autres, est impressionnant et rafraîchissant. Je t'encourage à poursuivre dans la même voie. Tu trouveras des articles sur le même thème, écrits par Pierre Desrochers, sur les sites web suivants: www.quebecoislibre.org et iedm.org.

Dernière note en terminant, ne perds pas ton temps à répliquer au parasite, surnommé phonono, qui a envahit ton blogue aujourd'hui. Ce type ne comprend rien à l'économie et ne comprendra jamais. Réserve tes efforts et tes arguments pour tenter de convaincre "les sceptiques à l'esprit ouvert".

lelibéralécolo a dit…

Vous écrivez : "libéral, communiste, socialiste, musulman ou bouddhiste" Etrange étrange....vous semblez confondre - et ce qui est très grave - idées politiques et idées religieuses. On peut être musulman et libéral, ce fut le cas du commandant Massoud, ou musulman et communiste, comme ce fut le cas pour Yasser Arafat. Bien que ce ne soit pas le coeur du sujet, la remarque me semblait nécessaire.

Quant à l' appellation "écolo", elle est pure ironie et ne doit point être prise au premier degré. Il ne m' est jamais arrivé de me revendiquer "écolo" en société. Le mot sert ici à traduire ma préoccupation pour l' environnement.

"Les solutions que vous proposez ne se basent ni sur la réalité, ni sur la science de la biologie et la compréhension du fonctionnement des écosystèmes et de l'interaction entre le système économique mondial (les humains) et le système écologique mondial (les animaux, les plantes et l'environnement physique)." Je m' efforçerai de répondre à ca mensonge gratuit dans les divers commentaires que vous avez postés par ailleurs. Vous y verrez - puisque cela semble n' être point encore chose faite - que toutes mes propositions se basent sur des chiffres réels, des faits avérés et des expériences concluantes.

Pour ce qui est du paragraphe suivant, je ne dis guère autre chose que vous dans un article intitulé "Les besoins de l' Homme, une digression nécessaire". Je vous revoie sur ce point aux écrits de Frédéric Bastiat (Harmonies économiques, chap "Besoins, efforts, satisfactions" et "Les besoins de l' Homme")

"voitures privées" Ah, parce que les voitures publiques (utilisées par les collectivités ou l' Etat) ne polluent pas ?

"Les idées "libérales" ne changeront rien au fait que le pétrole sera bientôt épuisé" Ais-je prétendu le contraire ?

Je préfère apporter des réponses à des question précises, parce que de telles accusations mensongères et non fondées ne méritent guère de s' y attarder.

lelibéralécolo a dit…

Merci beaucoup pour ce commentaire qui me fait hautement plaisir et m' encourage à continuer dans cette voie.
Merci aussi pour les adresses des sites du Québécois Libre (que je visite régulièrement) et de l' IEDM, que je ne connaissais pas.


Guillaume

Anonyme a dit…

D'abord, pour Anonyme Dernière note en terminant, ne perds pas ton temps à répliquer au parasite, surnommé phonono, qui a envahit ton blogue aujourd'hui. Ce type ne comprend rien à l'économie et ne comprendra jamais.

Les véritables parasites sont les libertariens qui veulent détruire un système dont ils profitent déjà amplement, exactement comme les communistes. Moi au moins je ne suis pas un lâche et je signe ce que j'écris (pour mon nom et mon contact c'est sur mon blog)

Je connais très bien comment fonctionne l'économie puisque je dirige une entreprise depuis 5 ans, que j'ai oeuvré au sein d'organismes de développement économique.

Quant à l' appellation "écolo", elle est pure ironie et ne doit point être prise au premier degré. Il ne m' est jamais arrivé de me revendiquer "écolo" en société. Le mot sert ici à traduire ma préoccupation pour l' environnement.
Si vous l'utilisez avec ironie, pourquoi ne pas mettre des guillemets aussi dans le titre de votre blogue et sur l'en-tête? Un écolo est justement celui qui se préoccupe pour son environnement.

Je m' efforçerai de répondre à ca mensonge gratuit dans les divers commentaires que vous avez postés par ailleurs. Vous y verrez - puisque cela semble n' être point encore chose faite - que toutes mes propositions se basent sur des chiffres réels, des faits avérés et des expériences concluantes.
À part le QIT, je ne vois pas vraiment d'expériences concluantes (le Zimbabwe? On repassera...)
Le QIT ça ne fait pas assez longtemps pour affirmer que c'est concluant... Mais au moins je vais vérifier.

Ah, parce que les voitures publiques (utilisées par les collectivités ou l' Etat) ne polluent pas ?
Les véhicules collectifs polluent moins. Les véhicules électriques collectifs polluent encore moins.

C'est quand même ironique de savoir qu'en 1936, à Montréal, il y avait 1000 tramways et qu'à pareille date à Paris, il n'y en avait qu'un seul.
Si nous n'avions pas cédé aux pressions de l'entreprise privée GM, nous aurions peut-être aujourd'hui eune ville sans smog.

Votre blog n'est qu'une série de tentatives d'appliquer le libertarianisme ou le libre marché à des problèmes nécessitant en réalité une panoplie de stratégies différentes (libérales en partie... sauf qu'il faut qu'elles soient favorisées ou instaurées par un instance politique).
Vous ne mentionnez jamais des exemples de mégacorporations qui dérapent (elles se comportent comme des États, somme toute)

Que pensez-vous de la monoculture? Que pensez-vous du rôle des prédateurs introduits (chats et chiens) par les gens en propriété privée ? Ces deux phénomènes à eux seuls sont plus destructeurs de l'environnement que l'on pense. Et les motoneiges? Ce véhicule privé pollue en une heure l'équivalent de ce que produit une voiture en une année.

Laissez donc tomber l'Institut économique de Montréal, ce ne sont que des parasites qui ne font qu'ânonner comme des mantras les inepties des adeptes du "libre marché". Eux ne connaissent rien à l'économie.
Ils sont capables de voir des liens directs entre haut taux de syndicalisation et haut taux de chômage...

lelibéralécolo a dit…

Un écolo est justement celui qui se préoccupe pour son environnement.
Et les socialistes sont-ils les seuls à se préoccuper de ce que l' on appelle le "social" ? Et les communistes de la "communauté", comme les noms semblent le suggérer ? (Ces questions n' attendent pas de réponse).


Que pensez-vous de la monoculture? Que pensez-vous du rôle des prédateurs introduits (chats et chiens) par les gens en propriété privée ? Ces deux phénomènes à eux seuls sont plus destructeurs de l'environnement que l'on pense. Et les motoneiges? Ce véhicule privé pollue en une heure l'équivalent de ce que produit une voiture en une année.
Laissez-moi votre adresse mail et je vous répondrez directement. Ce commentaire dévvie du sujet initial, et j' aborderai ces questions dans de futurs articles.

Pour ce qui est de l' IDEM, sachez que je ne compte pas le laisser tomber. Je ne néglige aucune source.

Anonyme a dit…

libertariens
S'il vous plait, utilisez du vocabulaire précis. Ici, il sagit de libéraux.

Sinon, il est quand même vrai que les précipitations diminuent, mais là encore, des mesures libérales qui aurait été prises plus tôt aurait évité ces ennuis.

lelibéralécolo a dit…

geppo a raison. Une petite polémique avait été déclenchée entre phonono et moi dans un autre post au sujet des définitons "libertarien" et "libéral" dans les deux acceptions - française et américaine - du terme. J' envisage d' écrire une petite note sur le sujet. En effet, les mots peuvent induire des confusions, notamment chez mes lecteurs canadiens. Je peux d' ores et déjà conseiller à ceux qui seraient intéressés ceci (le Québécois libre): http://www.quebecoislibre.org/philo1.htm

Guillaume

Anonyme a dit…

A ajoutez aussi dans le gaspillage, c'est le subventionnement des techniques d'irrigation à forte perte. Vous avez surement du déjà voir dans un champs ces énormes machines qui balançaient de l'eau à tout-va. Et bien cette méthode a un prix : ~10 % de l'eau sera évaporée avant même d'avoir touché le sol.
Et il existe une technique plus économe, mis en place notamment en Tunisie (on comprend pourquoi), qui est le goutte-à-goutte : des tuyaux sont installés sous terre, et délivre l'eau directement dans le sol. Les pertes deviennent alors très négligeables.

Anonyme a dit…

J'aimerai apporter des précisions concernant la PAC.
- Il me semble qu'elle ne constitue pas un contrôle de prix de vente élevé puisqu'elle subventionne l'agriculture. Le consommateur paye moins cher que ce qu'il devrait payer. La différence antant payée par nos impôts.
Cette situation à tendence à créer une sur-consommation (obésité, ...) mais aussi une sur-production puisque l'état rachète les surplus et les détruits, à moins qu'il soient revendus à des prix défiants toute concurrence dans des pays sous-dévellopés et où des agriculteurs mettent la clef sous la porte à cause de cette concurrence déloyalle (payée par nos impôts!)
Celà génère aussi une sur-consommation de pesticides.
- La politique de subvention de l'agriculture a probablement été mise en place avant l'Europe par la France ou les USA (à vérifier). La France a utilisée l'Europe et la PAC comme prétexe pour soutirer de l'argent à l'Allemagne. Ces derniers acceptant, probablement pour se faire pardonner la seconde guerre mondiale.

Mes sources sont des documentaires (Arté/RTBF) pour le premier point et ma réflexion pour le second !

Bravo pour ton site. J'ai moi aussi envi d'aider au rapprochement de l'écologie et du libéralisme. Mais je n'ai pas eu le courage de faire un site ou un blog. Tu es moins fénéant que moi !
J'essayerai d'apporter des petits compléments d'information ou de réflexion quand j'en aurais.

a+

lelibéralécolo a dit…

Pour ce qui est du contrôle des prix agricoles, il existe le FEOGA (crée en 1962) et chargé de soutenir les marchés. Donnez-moi votre e-mail, que nous puissions communiquer SVP. Je ne suis plus très actif sur ce blog, mais en train de monter un projet de site.

Anonyme a dit…

Fabien, Paris

D'accord avec l'argumentation : méfait de la PAC par ses subventions et son soutien artificiel des prix, eau payée trop peu cher par les agriculteurs.

Une autre ressource est trop bon marché : le pétrole. Et il intervient de plus en plus massivement dans l'agro-alimentaire, "de la fourche à la fourchette".
Heureusement, les prix vont bientôt grimper, ce qui devrait contribuer, enfin, à réduire les émissions de GES.

Anonyme a dit…

Qu'il existe des écolos intégristes, c'est un fait.
Qu'il y ait eu des livres (Le nouvel ordre écologiste et d'autres) pour nous prévenir des approximations, c'est certainement une bonne chose puisqu'il nous amènent à mieux réfléchir.

De là à réfuter le réchauffement climatique, la pénurie d'eau à l'échelle de la planète, je vous trouve bien hardi!

A l'inverse, on peut aussi remarquer que beaucoup d'escrocs peu hostiles au liébralisme ont truqué des comptes de sociétés géantes (depuis ENRON il y a 4 ans à ANDERSEN et récemment le groupe EIFFAGE...) et qu'il faut bien admettre qu'un meilleur contrôle éviteraient ces arnaques scandaleuses et toujours au détriment des plus pauvres...
Mais et après? Qu'en conclure?
Rien d'idélogique. Plutôt juste un fait : il y a des menteurs partout, car mentir est anthropologique. C'est tout.


Pour revenir à l'eau dans le monde, l'OMS et l'ONU ont décompté plusieurs dizaines de pays dans lesquels pourront survenir des conflits armés pour la ressource en eau dans les 15 prochaines années.

Le rapport des parlementaires français introduisant la nouvelle loi sur l'eau fait un bilan très sévère des 20 dernières années et le
rapport publié par l'IFEN en août tire la sonnette d'alarme : la moitié de nols rivière et le tiers de nos nappes contiennent des pesticides en quantité supérieure aux normes...


Votre réflexion sur l'état de notre environnement me paraît douteuse, pour ne pas dire sectaire...

Je me demande si, au fond, ce n'est pas la réaction de quelqu'un qui refuse la contrainte nouvelle qu'est l'environnement pour notre économie.

Il faut que les tenants du libéralisme se rassurent : ils ont tout intérêt à voir émerger une éco-économie... car sinon, l'économie actuelle nous ménera dans un abîme peu ragoutant...

En espèrant que vous prendrez le temps de creuser plus sérieusement ces questions...

Cordialement

Alexis Monjauze, de CAP 21 AUvergne

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